BTP : Comment intégrer le web dans votre stratégie ?

L'INSEE a révélé que 65% des entreprises françaises disposent d'un site web (73% en Europe), contre seulement 45% des entreprises du bâtiment (de 10 salariés et plus). En parallèle, 70% des Français recherchent des informations avant de passer à l'acte d'achat. Les principales informations recherchées sont plutôt classiques : prix bas (82%), inspiration et idées (57%), stocks disponibles (31%), horaires des magasins (18%). Et bien entendu, pour que l'internaute trouve ces informations, et prenne contact, il faut que le site web de l'entreprise soit visible !

Il faut se mettre à l'esprit que la génération Z – née dans le numérique – sera la prochaine masse de consommateurs... C'est pourquoi, il faut que les entreprises s'adaptent, pour suivre l'évolution du marché et des consommateurs.
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Certains ont déjà senti le vent tourner, et c'est pourquoi on trouve de plus en plus de sites spécilialisés sur Internet. Et les positions dans les résultats de recherche Google sont toujours plus difficiles à atteindre. Et comme si cela ne suffisait pas, on se rend compte que les internautes adoptent un comportement de plus en plus "frivole"... Majorité des secteurs d'activités l'ont compris, dont le secteur du bâtiment : 67% des dirigeants de ce secteur (qui ont un site web) estiment qu'un site internet est "générateur de contacts et source de nouvelle clientèle".
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Quand on sait que garder un client revient 5 à 10 fois moins cher que d'en conquérir un nouveau, on pense tout de suite à "fidélisation"... Mais les bons vieux stylos, calendriers et autres "cadeaux de fidélité" s'essouflent peu à peu : il faut repenser la stratégie de fidélisation. Bref, la récupération de données, (via les formulaires de contact, paniers d'achats, pages visitées...) est devenue primordiale pour le "cross media". Les noms, prénoms et adresses mail restent incontournables mais il faut maintenant aller plus loin : données plus précises voire même comportementales. "Un site de vente en ligne ne consiste plus à ajouter quelques produits dans un CMS dédié. Aujourd'hui, il s'agit surtout de trouver l'élément différenciateur pour ressortir de la masse de concurrents".
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L'INSEE nous dévoile que 10% des entreprises du bâtiment utilisent les médias sociaux, contre 20% des entreprises françaises (tous secteurs confondus) et 30% à l'échelle européennes. Voilà des chiffres qui donnent à réfléchir... Surtout lorsque l'on sait que de plus en plus de premiers contacts se font grâce aux médias sociaux. 

Linkedin indique lui-même posséder 300 millions de membres issus de 170 secteurs d'activités différents et ce, dans plus de 200 pays et territoires. Donc la cible visée par une entreprise du bâtiment y est forcément présente. Ce réseau est particulièrement connu et reconnu pour sa puissance de mise en relation et de génération de leads. Mais cet outil, aussi efficace soit-il est difficile à prendre en main pour ceux qui le découvrent juste.
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Google+ est très utilisé par les professionnels pour tous les avantages qu'il leur apporte (notamment la visibilité dans les résultats de recherche). En BtoC, une page Google+ permet d'être plus efficacement visible, au niveau local, sur des requêtes parfois très concurrentielles. Dans le BtoB, ce sont surtout des utilisateurs professionnels, réunis autour de communautés thématiques, qui représentent la richesse du réseau social.
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Twitter compte, lui, plus de 500 millions d'utilisateurs. Il permet à de nombreux professionnels de se tenir au courant de l'acualité d'un secteur, et ce, quasiment instantanément : c'est le point fort de ce réseau. L'actualité est diffusée en moins de 140 caractères, et peut ensuite être commentée ou relayée par d'aures utilisateurs => effet "boule de neige". Il permet à de nombreux sites web et marques de se faire connaître dans une thématique précise ; et de crédibiliser leur image en partageant régulièrement sur l'actualité d'un domaine ou d'une entreprise.

81% des artisans du bâtiment utilisent le web dans le cadre de leur activité (au quotidien), et 66% sont équipés en téléphones connectés. Pour ces professionels de la construction, Internet est une source d'information sur les produits, les matériaux et les innovations. Mais seuls 22% utilisent les réseaux sociaux (dont 74% plébiscitent Facebook, les autres réseaux sociaux étant loin derrière...). et donc n'y attachent que peu d'attention... A tort ou à raison ?
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Une landing page est une page d'attérissage qui renvoie un internaute sur un site web, suite à un clic dans une annonce publicitaire. Le clic de l'internaute sur l'annonce, ayant coûté de l'argent (directement ou indirectement), il est nécessaire d'assurer un retour sur investissement. Une landing page doit être bien pensée pour qu'elle n'engendre pas un taux de rebond élevé... Si la landing page est la page d'accueil du site web, il y a de fortes chances pour que l'internaute quitte le site au bout de quelques secondes (il ne va pas se donner la peine de chercher lui-même l'information sur le site). Au minimum, il faut que la landing page soit la page contenant les informations que l'internaute recherche. Et, dans l'optimum, il faut un titre accrocheur, des phrases courtes et un formulaire de contact sur la page pour améliorer le taux de conversion.
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...Si une entreprise souhaite fidéliser sa clientèle, trouver de nouveaux contacts... bref, faire du profit, les réseaux sociaux et les sites internet sont le b.a.-ba de sa démarche. (3 entreprises sur 10 ne passent pas le cap des 3 ans après leur création)

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